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Sous le ciel de lit de la tente mess, deux dormeuses saucissonnées peinent à se réveiller!
Les mules contemplent tout ce petit monde affairé aux préparatifs. Le ciel est spendide, la journée sera belle pour gravir le jebel Sirwa
Au sortir du village de bergeries, les toits et l’échelle de la mosquée, les cultures en terrasse, c’est l’époque de la cueillette du safran
. . . et reflètent de drôles de silhouettes
En équilibre et plus très loin du jebel Sirwa
. . . hélas, nous ne le verrons que de loin, trop de neige et de glace, la prochaine fois, inch allah
Mohammed, toujours devant pour nous indiquer le chemin, se demande pourquoi ses gazelles lambinent tant . . .
. . . évidemment si l’on commence à lancer des boules de neige!!
Lave-vaisselle naturel pour une pause déjeuner bien arrosée, merci Christine de cette attention
Le Sirwa nous nargue, mais il faut rallier le campement, en longeant l’oued et enjambant le chaos de roches. On se croirait dans des ruines de temples grecs
La nuit tombe vite à cette saison, un dernier coup d’œil sur le sommet ennuagé, Mohammed nous attend encore, les tentes sont en vue, et le souper mijote dans la grande tente, qui a enfin retrouvé sa fonction première de salle à manger!