CHAPITRE 1 : LA CARTE D'IDENTITE DU CHEVALIER
Je m’appelle Guillaume Le Roux. J’ai épousaillé Guenièvre La Rousse. Ensemble nous avons eu 2 garçons et 2 filles qui s’appellent Aurore,Flore,Florentin et Perceval.
Dans mon enfance, j’ai été élevé par ma nourrice. A l’âge de mes 7 ans? j’ai été confié à sir Edouard pour devenir page, puis compagnon de chasse, de voyage et de guerre. Quand j’ai eu 20 ans, j’ai été adoubé par mon parrain, mais avant, j’ai dû me purifier et veiller toute la nuit dans la chapelle du château.
Au début de la cérémonie, mon parrain, sir Edouard me posa la question traditionnelle
- Qu’es-tu venu chercher en chevalerie ?
J’y répondis avec succès,puis il me fit prêter serment. Il y a 10 point à respecter après, il me fit revêtir mes habits (la chemise,la cote de maille, la tunique portant les armoiries,ceinture et casque).
Ensuite il me fit mettre à genoux pour que je reçusse mon épée. Puis il me donna la collée, il me prit mon épée et il me fit chevalier au nom de Dieu.
Enfin, je dus prouver ma vaillance lors d’un duel loyal selon les règles de la chevalerie.
Source : Maxicours.com
Timéo, Nathan, Raphael
CHAPITRE 2 UNE JOURNEE SUR LA SEIGNEURIE
Ce matin ,je décidai d’aller a la chasse dans les bois qui sont situés sur ma seigneurie .De loin, je vis mon château qui est fortifié. Il me protège, moi et mes paysans. Les paysans sont aussi autorisés à vivre dans la première enceinte de mon château
En échange, les paysans sont obligés de me donner de l’argent chaque année. En me rendant au bois , je croisai mes paysans qui travaillaient . En ce mois d’août , les paysans battent le blé et récoltent tout ce qui a poussé. Mais leur vie est aussi marquée par la religion et les fêtes religieuses où tous les paysans participent .
Il y a aussi de nombreux progrès techniques comme la charrue. C'est un appareil à creuser le sol. Cela va permettre de creuser de manière plus profonde avant de semer ce qui permettra de faire une meilleure récolte. Il a aussi le collier d’épaules pour le cheval. Auparavant c’était le colliers de coup. Ce collier d’épaules permet de moins blesser le cheval et ce qui permet de tirer une charge plus lourde.
Après avoir discuté avec mes paysans? je retourne a la chasse. Fatigué, je rentre à mon château.
Azalée, Clara, Prunille, Alice
CHAPITRE 3 : L'INVITATION AU BANQUET
Je suis invité au banquet du seigneur Arthur qui nous a invité pour le mariage de sa fille Clothilde. J’y suis convié car je suis le vassal du seigneur Arthur.
Comme nous avons passé un contrat féodal , le seigneur Arthur doit donc me protéger et m’accorder un fief. En échange de ces services? je le conseille et je l’aide militairement et financièrement ( comme pour le mariage de sa fille aînée).
En arrivant dans la salle du banquet, je vis la table dressée d’une jolie nappe blanche. Elle est disposée devant la chemineée Sur celle ci étaient disposées des planches sur des tréteaux sur lesquels les invités vont manger, Nous avons pris place du même côté, le plus noble d’entre eux s’installe dans une chaire surmontée d’un dais orné de ses armoiries.
Nous avons commencé à manger avec les doigts. Au menu, il y avait plusieurs mets delicieux, du vin à volonté, du sanglier, u cerf, des épinards et en dessert de la betterave, des pommes, des figues et d’autres fruits de nos jardins. C’était délicieux ! A la fin du repas les troubadours ont chanté et dansé joyeusement.
CHAPITRE 4 : UNE VISITE DANS UNE ABBAYE
Cela faisait quelques jours que je respirais mal et que mes poumons me faisaient souffrir .
Je décidais d’aller à l’abbaye la plus proche du château .Je fus accueilli par un moine portier qui me guida vers l’hôtellerie.
Il m’expliqua que c’était une grande salle au rez de chaussée ou l’on accueille les pauvres et les malades.
On me distribua le repas dans cette salle puis le moine infirmier me demanda:
- Bonjour monsieur Le Roux que nous vaut cette visite?
- Je suis ici car j’ai mal aux poumons.
- Bien, attendez moi ici je vais au jardin des simples vous cherchez une feuille tachetée pulmonaire.»
Il revient avec un bol et un verre d’eau dans les mains et je vis une purée verte pas très appétissante .
A contre cœur je l'avala.
Puis je bus le verre d’eau.
Après quelques minutes je dis:
- Merci beaucoup frère Jean-Albert je me sens beaucoup mieux mais je suis épuisé.
-Bien je vais vous conduire sur votre paillasse »
Le lendemain, on me conduisit à l’hôtellerie pour prendre mon petit déjeuner.
« Mes frère, je m’intéresse au métier de moines et à l’utilité de l’église, pouvez-vous me l’expliquer s’il vous plaît ?
-Oui bien sur, l’église est une puissance économique et culturelle,extrêmement riche, elle a 1/3 des terres cultivées de l’Occident.Les monastères sont à la tête de vaste domaine dont ils tirent des profits. »
Il m’expliqua aussi que la cathédrale enseigne,ce qui est un privilège. Il me fit entrer dans la salle capitulaire qui communique avec le cloître.Les moines s’y réunissent chaque matin pour lire et commenter le chapitre de la règles de Saint-Benoit. Il me conduisit à la salle de saignées où l’on me fit prendre un bain thérapeutique.
Puis il me raccompagna aux portes de l’abbaye et m’expliqua que ma douleur pulmonaire disparaîtrait complètement dans quelques jours. Enfin je rentrai chez moi me reposer.
Ambre, Tess, Yanis, Lou Ann
CHAPITRE 5 : DE PASSAGE EN VILLE
Ce matin,je me suis réveillé de bonne heure afin de me rendre dans la cité construite sur mes terres pour y rencontrer un ami marchand avant de me rendre avec lui sur la foire de provins.
En arrivant dans la cité, j’admirai les habitants et la façon dont elles étaient construites.
En effet, le bois est une matière importante pour les gens. Dans la cité, les maisons sont bâties en bois sur une base en charpente avec des poutres et du colombage. On extrait l'argile depuis les glaisières et afin de la vendre résistante, on lui ajoute de la paille de la bouse et des feuilles.En effet, les maisons des ville étaient presque toutes à colombage.
.Lorsque je suis arrivé dans la cité, c’était un jour de marché. Un marché se tenait une ou deux fois par semaine dans la plupart des villes fortifiées. La place se remplissait alors d’une foule affairée et de marchands vendant leur articles à tue tête. Il y a des rues étroites et des maisons serrées. Comme la population augmente, Il n’y a plus de place dans la cité alors les habitants vont dans les faubourgs.
Mathias, Alexy, Tom et Dario