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Sur la terrasse du Dar Baraka, à l’heure du petit-déjeuner, inversion des rôles: Ahmed, toujours présent et si agréable depuis tant d’années, a joué au touriste le temps d’une photo
Bien rassasiée c’est à vélo que je suis partie retrouver Younes à l’autre bout de la ville. La circulation est dense mais en étant vigilante tout se passe bien. Contrairement à Paris, où à vélo on ne dépasse ni les autos ni les taxis, à Marrakech on dépasse les calèches!!
Le retour, en légère montée a été aussi rapide que l’aller, rien ne vaut l’entraînement. Quelques bassins rafraîchissants plus tard, à pied, pour visiter le Musée des Confluences (ouvert en février 2019) installé dans une aile du Palais Dar al Bacha, construit au début du XXème siècle, par le fameux Glaoui, Pacha de Marrakech
Deux objets des collections permanentes: une statue Calao (oiseau fétiche d’un groupe ethnique de Côte d’Ivoire, Mali et Burkina-Faso), symbole de fécondité, ainsi qu’un astrolabe planisphèrique en laiton.
Le monde sens dessus dessous au XIIème siècle!
Fabuleux endroit, du sol au plafond . . .
. . . portes en bois de cèdre, fontaine, massifs, forment un ensemble de toute beauté, même si le jardinier en oublie ses outils!
La première exposition temporaire rend hommage à la collection de caftans anciens d’Yves-Saint-Laurent et Pierre Bergé
Ambiance souk
Un marabout dissimulé dans un grand jardin derrière de hauts murs: Sidi bou’amar
Pikala, le royaume du vélo . . . ça pourrait toujours servir!!
