Dernier ingrédient de ce listing :

Et nous finissons donc par les nanoparticules. "L'affaire du Méningitec" est mentionnée.

Qu'en est-il ?

En 2014, le laboratoire fabricant ce vaccin est alerté de la présence de traces métalliques dans de rares fioles. Par précaution, le vaccin est retiré de la vente.

Dans le même temps, un chercheur italien affirme avoir détecté des quantités importantes de métaux lourds dans ce vaccin.

Sauf que... les quantités détectées sont en quantité infime :

Oui, vous avez bien lu : il y a bien 19 zéros après la virgule.

Comparez avec ce qui est accepté, pour les métaux lourds, dans l'eau purifiée utilisée pour les injections :

ici, ppm veut dire "partie par million". Donc nettement plus élevé que ce qui est présent dans les vaccins.

La conclusion de l'ANSM a donc logiquement été :

En résumé :

• Il y a bien des nanoparticules dans les vaccins, comme dans tous les liquides injectables.
• La quantité est absolument négligeable.