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Les sournoiseries Suisses le côté obscur de sa force

La Suisse souffre de son administration, du nombre d’élus, d’un système de démocratie – directe, maladroite d’un Conseil Fédéral et de ses Cantons.

La Suisse est devenue un pays mafieux et corrompu, son administration fonctionne comme une Mafia confédérale. Beaucoup de citoyens et de journalistes naissent aveugles , et ils ne s’en aperçoivent que le jour ou une bonne vérité leur crève les yeux.

La démocratie - directe, la médiocratie, les manipulations et coups bas helvétiques ont atteint leurs limites, qu’ il va falloir impérativement apporter les changements nécessaires. Tout cela nuire au développement socio-économique, spirituel et culturel !

Ceci est une réflexion personnelle, donc, non exempte de critiques. Je suis un homme de terrain et je vous soumets mes diverses expériences en Suisse. Dire la vérité est un acte révolutionnaire, ce n’est pas pour me déplaire.

Je n’ai aucun intérêt ou objectif de critiquer ou juger tel ou tel, mais de mettre en évidence la nécessaire obligation de modifier un système corrompu et le vieillerie de la mentalité de certains fonctionnaires helvétiques qui détruit, pénalise et criminalise les personnes issues de la migration;

Ceux qui ne lèchent pas de bottes et ne jouent pas aux vieux jeux hypocrites du nègre avec son maître colon, et en particulier les personnes innovantes détentrices de savoirs et des compétences, des qualités tant recherchées dans les communautés des immigrées et pour une Suisse qui montre au monde entier un visage d’ouverture et de neutralité.

Imaginez - si vous le pouvez – que vous n’avez aucune conscience, aucun sentiment de culpabilité ou de remords et ce quels que soient vos actes, que vous n’êtes jamais freiné par la préoccupation du bien-être d’un étranger, d’un ami ou même d’un membre de la famille.

Imaginez que vous n’avez jamais éprouvé de honte, pas une seule fois dans toute votre vie, pour un acte, aussi égoïste, paresseux, nuisible, ou immoral qu’il ait été. Et faites semblant que la notion de responsabilité vous est inconnue, sinon comme un fardeau que d’autres semblent porter sans se poser de questions, comme des imbéciles crédules.

A présent, ajoutez à cet étrange délire une capacité à dissimuler sous un maquillage psychologique le fait que vous êtes radicalement différent des autres. Puisque tout le monde suppose que la conscience est universelle chez les êtres humains, vous n’aurez pratiquement aucun effort à faire pour cacher votre absence de conscience.

Vous n’êtes pas limité par un sentiment de culpabilité ou de honte, et vous n’êtes jamais remis en question pour votre sang-froid. L’eau glacée qui coule dans vos veines est si bizarre, si étrangère à leur propre expérience qu’ils n’arrivent que rarement à deviner qui vous êtes.

En d’autres termes, vous n’êtes freiné par aucune contrainte morale, et votre liberté sans bornes de faire exactement ce qui vous avez envie de faire, sans crises de conscience, est invisible aux yeux du reste du monde.

Une situation idéale. Vous pouvez faire tout et n’importe quoi mais cette étrange capacité qui vous donne un avantage sur la majorité des gens, limités qu’ils sont par leurs consciences, restera malgré tout votre petit secret.

Fou et effrayant

Si personne n’est là pour vous arrêter, vous pouvez faire tout ce que vous voulez. Si vous êtes né au bon moment, et si vous avez hérité d’un petit pécule, et si vous avez un talent particulier pour attiser la haine et les sentiments de frustration chez les gens, vous pouvez vous arranger pour tuer un grand nombre de personnes sans méfiance.

Avec suffisamment d’argent, vous pouvez accomplir la même chose à distance, et vous pouvez vous asseoir tranquillement à l’abri et observer de loin le bon déroulement des opérations, avec une certaine satisfaction....

Comment serait votre vie ? Comment profiteriez-vous de cet avantage, un avantage énorme et secret, sur tous ceux qui sont freinés par leur conscience ?

La réponse dépendra en grande partie de la nature de vos désirs, parce que les gens ne sont pas tous les mêmes. Même ceux qui sont profondément sans scrupules ne sont pas tous les mêmes.

Certaines personnes – consciemment ou pas – préfèrent la facilité de l’inertie, tandis que d’autres sont remplis de rêves et d’ambitions sauvages.

Certains êtres humains sont brillants et talentueux, certains sont obtus mais la plupart, consciemment ou non, sont quelque part entre les deux. Il y a des violents et des non violents, il y a ceux qui sont motivés par la soif de sang et ceux qui n’ont pas de tels appétits ....

J’ai voyagé dans le monde entier, j’ai donc pu apprécier bien des peuples et des gouvernements, comme celui de Dubaï, aux Émirats Arabes Unis par exemple.

J’ai eu à résoudre des conflits dans différents domaines de l’exercice de mes professions dans le monde. Mais en Suisse, l’administration est tout particulièrement la machine à broyer des étrangers; l’administration judiciaire et le fisc sont les ennemis de l’entrepreneur Africain en Suisse.

Quand j’ai créé une société à Dubaï, un haut fonctionnaire de l’administration m’a téléphoné pour que l’on se rencontre afin de nous apporter leur soutien et des solutions pour mon développement .

En Suisse personne ne vous téléphone, si ce n'est pour vous surveiller, monitorer, intimider et réclamer des paiements sur chaque tentative de développement et d’innovation, jusqu’à la faillite.

Il ne faut surtout pas oublier ce chiffre : 80% de la jeunesse suisse de souche a comme pour premier désir dans la vie, d’être fonctionnaire, et de dominer sur les étrangers s’il faut ; tout est dit ou presque.

Mentalité colonial

Les Occidentaux sont fascinés lorsque l’originalité et l’astuce sont déployées par les indigènes pour vivre au milieu d’une nature décrite comme hostile.

Cette attitude ne mène pourtant jamais au respect de la différence, ni à considérer les peuplades indigènes comme des égaux. D’autre part, l’idée de bestialiser l’Africain, en le réduisant au statut d’élément constitutif de la nature offre la possibilité d’aller au-delà du simple constat d’inégalité.

L’infériorité signifie alors déclassement, l’humanité devient animalité. Si nécessaire, le dominant s’autorise à éliminer de la surface de la terre les espèces qu’il juge nuisibles. La brutalité engendre la brutalisation.

Ainsi, lorsque la situation l’exige, l’Africain passe de la sauvagerie domestiquée à la brutalité anthropophage ou vice-versa. Le stéréotype prend lui-même, en fonction des besoins, des tournures apparemment contradictoires pour servir l’idéologie dominante.

À ce stade de l’argumentation, la pertinence quantitative du corpus réuni et la réelle perception/réception de ces images sont des points à vérifier. Mesurer la justesse de cette analyse exige de lire les témoignages fournis par les voyageurs suisses en Afrique.

On s’attend a priori à une vision quelque peu modifiée de la réalité africaine fournie par les images circulant en Suisse.

Même s’ils sont très rares et qu’ils se produisent dans des conditions très particulières, les contacts directs avec les Africains contribueraient à modifier les représentations à leur encontre. Il faut déchanter, là encore.

L’image et la représentation collées sur l’Afrique et ses peuples a toujours été un regard de mépris, profits et de propagande.

Le stéréotype prend lui-même, en fonction des besoins, des tournures apparemment contradictoires pour servir l’idéologie dominante.

Les sources consultées confirment le versant colonial de l’imaginaire suisse. On constate que les contacts sont faussés dès le départ. Les documents fournis par les voyageurs suisses en Afrique forment un corpus d’importance qui pose de sérieux problèmes aux chercheurs.

Cela n’est guère représentatif de l’échantillon des Suisses, souvent de condition modeste, qui se sont rendus en Afrique soit comme employés auprès des compagnies d’affaires, soit comme commis des États colonisateurs.

Européennes de seconde zone dans des territoires appartenant à d’autres nationalités, les émigrés suisses respectent pourtant profondément leur hiérarchie et servent l’intérêt de la puissance coloniale avec zèle, fidélité et dévouement, adhérant ainsi, sans restriction, à son projet d’expansion et de domination.

De plus, ils ne s’éloignent guère par leur pensée de leurs compatriotes restés au pays, avec lesquels ils continuent de maintenir le contact. De fait, ils partagent les mêmes représentations mentales que la plupart des Européens.

Autres occasions de rencontres, lors de fêtes commémoratives ou commerciales d’ampleur nationale, les zoos humains ne varient quasiment pas de ceux qui se montent en très grand nombre en Europe. C’est une preuve tangible et documentée de la participation de la Suisse à un esprit colonial communément partagé.

Des divergences apparaissent parfois entre Européens au sujet des expositions, mais jamais dans les motivations de départ à vouloir exhiber des indigènes. Corollaires à ces manifestations, les spectacles privés complètent le tableau.

Hommes poilus, femmes à barbe, nains et géants, noirs albinos, derniers rescapés d’espèces humaines ou animales en voie de disparition : une véritable cour des miracles enrichit les restaurateurs et les marchands, souvent malhonnêtes et peu regardants sur la santé de leurs «acteurs ».

Une histoire de ces exhibitions pour l’ensemble de la Suisse reste à écrire ; l’Africain exhibé dans un parc à la vue de spectateurs qui n’ont, pour la plupart, jamais quitté leur pays, n’est qu’un indigène, payé pour renforcer chez les Suisses la conviction de leur supériorité.

Le Noir n’est pas un reflet de la réalité africaine, mais un moyen de prouver la véracité d’une certaine vision du monde, chère aux Occidentaux.

Autrement dit, ce sont les partenaires eux-mêmes qui sont les causes de l’aveuglement et de l’incapacité à envisager la réalité africaine pour ce qu’elle est.

Les contacts se construisent sur un mode colonial, d’où l’impossibilité absolue de pouvoir bâtir une relation à base égalitaire. Plutôt que de combattre l’esprit colonial, on comprend que les exhibitions ont contribué à le renforcer.

Somme toute, le paradoxe soulevé plus haut s’explique par une logique de mécanismes relativement simples. Ces derniers déterminent ensemble le concept appelé nébuleuse coloniale.

En résumé, le principe est de voir combien le retour vers la réalité africaine devient impossible et comment cette impossibilité repose sur l’imaginaire et s’en nourrit.

Diffuse, diffractée ou rémanente, l’expression de l’ensemble des représentations mentales sur les Africains révèle une attitude impérialiste de la Suisse face à la différence, avec ou sans possessions coloniales.

Je vous entraîne à la découverte de ce que la Suisse cache aux yeux du monde, sous le tapis de son exemplarité affichée et de sa moralité élastique, quand elle touche à ses privilèges. Il est démontré ici à travers des faits concrets que le système helvétique lui-même conforte par son immobilisme calculé. Je vous invite à lire le livre : Le Ruisseau Noir- Schwarzenbâch

Ce livre entre autres relate des faits et des actes révoltants, mises à jour sans concessions, mais sans esprit partisan, dans le seul but du droit à l’information pour tous et surtout aux dirigeants africains qui voient en la Suisse un paradis, bien qu'ils soient facilement manipulés et infiltrés par les services secrets de la Confédération qui étend ses tentacules partout, même jusqu’au fin fond de la brousse de mon village natal, en Afrique.

Il n’y a qu’un fait qui ne change jamais, c’est le changement. Certains politiques veulent ressembler à Jésus, mais ils ne savent pas faire des miracles.

La Suisse comme d’ailleurs d’autres pays européens est dirigé par des politiques de combines et des comportements dignes de la mafia Sicilienne, Colombienne et Russes en une seule entité qui rendent les citoyens aveugles.

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Inclut une image créée par TheHilaryClark - "reaper death halloween"