L’hôtel Barcélo a tout du Belambra local. On y trouve des chambres bon marché qui font plutôt illusion à première vue mais qui ne tiennent pas totalement leurs promesses (douche sans pression, voir un tout petit filet d'eau par moment, décoration désuète, mobilier vieillissant, clim d'un autre temps etc). Heureusement la literie est correcte. Il y'a beaucoup de monde, les piscines sont pleines toute la journée et les lieux de restauration tiennent plus de l'énorme cantine que du restaurant (on se croirait dans un Flunch géant). On est assez loin du standing de l'hôtel que nous avions à Bali en 2017. Néanmoins nous avons passé un assez bon moment. Principalement grâce à la plage, avec une eau à plus de 30 degrés, autant dire qu'on n'a pas mis un pied dans la piscine à microbes. Mais surtout, chose étonnante, même dans un hôtel aussi touristique, on trouve là encore une faune luxuriante, le genre qui s'est adapté aux humains, donc moins farouche, moins sauvage.

Pour le voyage retour nous retraversons le golfe dans l'autre sens. Ce voyage retour, comme souvent, nous semble beaucoup plus court. Ensuite notre route nous emmène à San José où nous prendrons notre avions direction Paris. En chemin nous nous arrêtons dans le magasin à touristes à Sarchi. Il s'agit de la Fabrica de Carretas Eloy Alfaro. On y trouve les ateliers de fabrication des fameuses charrettes du Costa Rica avec quelques modèles d'expositions que vous découvrirez dans la galerie photo en dessous de ce texte. L'autre intérêt de l'arrêt c'est qu'il s'agit d'un énorme commerce. On y trouve un peu prêt tous les souvenirs typiques du pays. De quoi faire plein de cadeaux et de rapporter quelques souvenirs. Pour nous ce sera principalement l'achat d'un hamac (on fait dans le souvenir utile) et quelques casquettes pour ma collection. Mais on y trouve tout un tas de ramasses poussières en tout genre pour ceux qui veulent refaire la décoration à la maison et des produits artisanaux malheureusement un peu chers pour nous.