Ci-dessus: les couleurs flamboyantes de la vallée de l’Ounila
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À Tamdakht où c’est l’heure de partir pour l’école, dernière visite à Ella et Stan, chuuut le petit dort, on ne le dérangera pas.
Une des kasbah du Glaoui, verrou du sud de la vallée, ne sert plus, hélas, que d’habitation pour les cigognes. En face chez, Omar et Mohammed les antiquaires, Claude y a effectué une razzia d’astrolabes.
Oui, une vallée Paradis, j’avais dit que depuis le goudron je n’y passerais plus mais les à-côtés ont retrouvé leur vie sauvage et comment se priver des ces couleurs incomparables ?
Le fond de l’oued et les villages accrochés à ses flancs.
Une autre kasbah du Glaoui, celle de Talouat, verrou du Nord. Les rénovations tardent, années après années on constate un délabrement toujours plus important. Mais que font les marocains de leur patrimoine ???
Les fenêtres et verrières : heureusement qu’il ne pleut pas trop souvent puisque les vitres ne sont pas remplacées.
Les stucs et zelliges, toujours plus abîmés et quelques tessons emportés probablement par des visiteurs peu scrupuleux.
La salle d’apparat et ses sultanes contemporaines.
Le grand chantier du Tizi n’Tichka au bas duquel il est quasiment impossible d’échapper à une amende : 200 dirhams pour dépassement sur une ligne blanche, c’est quand même justifié!
Avant de pénétrer dans la belle ville ocre, grande mise en beauté pour LA Duster, ce n’est pas un luxe. Service soigné et efficace.
Credits:
©Dominique Wacker-Cao