Romain Kacew Toute sa vie en quelques pages...

Roman Kacew , devenu Romain Gary, est un personnage aux multiples facettes: écrivain, diplomate et romancier français, de langues française et anglaise, né le 21 mai 8 mai 1914 à Vilna dans l'Empire russe actuel Lituanie et mort le 2 décembre 1980 à Paris. Nous allons vous présenter les grandes lignes de sa vies de son enfance à sa mort.
De 1914 à 1921 il vie en Russie avec ses parents. Sont père est apellé à la guerre. Roman et ses parents sont de nationalité russe et deviennent polonais quand Vilna est intégré à la Pologne. après une mesure générale d'expulsion des juifs de la zone du front les oblige à passer plusieurs années en Russie. A partir de septembre 1921 lui et sa mère vont vivre pendant quelques années à Vilna en Pologne. Son père quitte le foyer en 1925 pour aller vivre avec une autre femme. Romain en à était traumatisé. En aout 1928 ils obtiennent un visa touristique pour la France. Sa mère est persuadé que dans ce pays, son fils pourra s'accomplir pleinement en tant que doplomate ou artiste.
Ils s'installent a Nice le 23 aout 1928,Utilisant désormais son prénom francisé "Romain", son fils se distingue au lycée en français, obtenant en 1929 le premier prix de récitation et en 1931 et 1932 celui de composition française, mais « dans les autres matières, excepté l'allemand qu'il parle et écrit très correctement, il est médiocre ». Il est reçu au baccalauréat Philosophie en juillet 1933 avec mention « Passable ».
Après avoir commencé des études de droit à Aix-en-Provence en octobre 1933, Romain Kacew part l'année suivante les poursuivre à Paris, probablement grâce à l'aide financière que lui apporte son père à l'occasion de leur rencontre à Varsovie durant l'été 1934. Il obtient sa licence en juillet 1938, tout en suivant parallèlement une Préparation militaire supérieure au Fort de Montrouge. Durant cette période il écrit pas mal de nouvelle, mais en 1937, plusieurs éditeurs refusent son premier roman, Le Vin des morts.
Il est appelé en novembre 1938 au service militaire dans l'aviation à Salon-de-Provence, puis est envoyé à l'école de l'air d'Avord près de Bourges. Au terme de sa formation, il passe l'examen de sortie de l'école en mars 1939, mais est un des deux élèves officiers de la promotion à échouer, probablement en raison de sa naturalisation trop récente. Il doit se contenter du grade de sergent32. En août 1939, il devient instructeur de tir à l'école de l'air d'Avord et suit son école à Bordeaux-Mérignac où elle se replie fin août. En février 1940, il obtient une permission pour se rendre à Nice, au chevet de sa mère atteinte d'un cancer de l'estomac. C'est la dernière fois que Romain voit sa mère : elle meurt en février 1941. Durant la seconde guerre il combattra sous les ordres du générale de Gualle dont il est admirateur.
Après la fin des hostilités, il entame une carrière de diplomate au service de la France. À ce titre, il séjourne en Bulgarie 1946-1947, à Paris 1948-1949, en Suisse 1950-1951, à New York (à la Mission permanente de la France auprès des Nations unies (1951-1954), à Londres 1955 puis en qualité de consul général de France à Los Angeles de 1956 à 1960. De retour à Paris, il demeure sans affectation jusqu'à sa mise en disponibilité du ministère des Affaires étrangères en 1961.
En janvier 1945, Romain Gary voit son premier roman, Éducation européenne, publié par les éditions Calmann-Lévy, il est distingué par le prix des Critiques. Mais c'est avec Les Racines du ciel qui est récompensé du prix Goncourt en 1956, que sa notoriété d'écrivain grandit auprès du public. À partir de la publication de La Promesse de l'aube, en 1960, il se consacre de plus en plus à son activité d'écrivain, également sous divers pseudonymes dont l'ultime et le plus connu, Émile Ajar, marque la fin de sa carrière et ses quatre derniers romans avant sa mort.Ainsi, dans Chien blanc 1970 récit autobiographique écrit dans le contexte de la lutte pour les droits civiques aux États-Unis dans les années 1967-1968. Bien sur une infime partie des ses oeuvres a était cité, il en a écrit tellement ...
Romain Gary se suicide le 2 décembre 1980 avec un revolver Smith & Wesson de calibre 38, se tirant une balle dans la bouche. Il laisse une lettre mystérieusement datée « Jour J » et dans laquelle est notamment écrit : « Aucun rapport avec Jean Seberg » (l'actrice s'est elle-même suicidée le 30 août 1979). Compagnon de la Libération, il a droit aux honneurs militaires lors de ses obsèques à l'Église Saint-Louis des Invalides le 9 décembre 1980. Le 15 mars 1981, sa dernière compagne Leïla Chellabi disperse ses cendres, selon son vœu, en mer Méditerranée au large de Menton.

FIN

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