LE RUISSEAU NOIR

D. Hochstaettler

Qui pourrait imaginer qu’en ce siècle qui est le nôtre, des Esprits Africains éclairés puissent se démarquer et s’illustrer ?

Les Occidentaux le savent parfaitement, et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle ils coincent les Africains de toutes les manières, nous tendent toutes sortes de pièges et embrouillent les cerveaux de nos dirigeants.

Voilà pourquoi en tenant compte de toutes ces évidences, les journalistes et médias traditionnels Suisses ne parlent pas de ce livre, et qu’en Europe on en parle peu! Pourriez-vous me dire pourquoi les médias Africains, surtout de la francophonie ne parlent pas du livre : Le Ruisseau Noir?

Un livre ATYPIQUE

Jamais ou tout au moins depuis des lustres, nous n’avons vu un penseur écrivain africain qui nous fasse « lever le pied » sur nos concessions; celles-ci consistent à dominer les Africains par nos styles de manipulations et l’usage des mots, des phrases et les contradictions bien occidentales;

Le Ruisseau Noir - schwanzenbach nous remet à nos places d’hommes éphémères, comme nous-même, avions toujours voulus nous faire appeler et être désigné comme des « blancs » , en anglais « White », ce qu’il veut dire ÉPHÉMÈRES ! Plus explicitement.

Nous avons simplement ausculté, ridiculisé et banalisé des occasions de nous repentir et d’accepter le partage et la collaboration dans un monde qui nous appartient à tous, plutôt que de jouer les "maîtres et rois des ignorants". Nous sommes aujourd’hui, le résultat de qui nous étions, oui de véritables ignorants rois.

Avec de constants rappels à l’histoire que nous avons parfaitement falsifiée et truquée, les institutions de connaissance qui ne sont que des tours de plagiat, de bidouilles et de gribouillages, des générations de savants qui ne sont que des passeurs de nos faussetés d’une génération à l’autre,

Il est temps que la Lumière soit…

Voilà pourquoi nous sommes sur la défensive et avons peur des incessantes remises en question que l’humain dans son évolution, la nature dans sa transformation et les mystères de la Providence dans sa toute-puissance, ne fait que nous dépasser et se moquer de notre infinitésimale position dans la hiérarchie des choses.

Au départ, ma démarche se voulait de coincer, déstabiliser, trouver des faillites et faire une conclusion d’èches littéraire, selon nos modus operandis en Occident, au sujet des personnes que nous ne connaissons pas et qui, en tant que des auteurs, cherchent à nous faire réfléchir autrement.

Après quatre-vingt-dix jours de lecture et de relecture, l’exercice de mon autoproclamé métier de critiques des livres étrangers est aujourd’hui une chose du passé. Je vais me remettre à la véritable quête de la connaissance, savoirs et de l’intelligence qui n’a absolument rien à voir avec qui nous sommes, ou qui étaient nos parents, notre histoire ou notre lieu de naissance….

Tout ce que nous croyions savoir des Africains et de l’Afrique est fausse, acceptons-le, et commençons à rechercher d’autres terrains de compréhension et de coopération. Nos écrivains "noirs" comme nous les avons désignés ont fait nos volontés, ils étaient nos apôtres de la désinformation et de la manipulation de leurs populations respectives.

Nous leur octroyions des bourses d’études pour avoir des diplômes, ces papiers signés par nos soins pour vérifier le niveau de la maniabilité de nos pantins. Nous leur décernions des prix, des médailles et achetions leurs consciences pour promouvoir la gloire occidentale.

Mise en place il y a maintenant des siècles, cette entreprise aux pieds d’argile commence à s’effondrer, le changement climatique ne se cachant plus dans ses manifestations d’attaques frontales, à toutes nos fausses frontières et tours de passe-passe de faussaires.

Nos ainées avaient bien vu quand, en 1789, ils se sont décidés d’un commun accord pour la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ; ils recherchaient une autre voie, un autre ordre universel des choses .

Il est temps de ressaisir les opportunités et devenir des humains, parce que, en vérité, nous sommes dans une course des rats et des cafards – destinations pesticides et autodestruction.

Au prix du sang

Les Occidentaux qui, au prix du sang arrachent les découvertes, créations et inventions à leur profit. Pour eux, rien de bon ne peut sortir de l’Afrique. À la quête du pouvoir, des dirigeants africains aussi sont capables de sacrifier leurs populations à ces éternels prédateurs.

En ce moment de l’histoire, les Africains doivent comprendre qu’ils ne pourraient compter que sur eux-mêmes, pour se développer. Je suis convaincu que nous pouvons y arriver si nous avons confiance en nous-même.

Les Occidentaux ne se contentent pas de les détruisent financièrement et matériellement, mais c’est surtout moralement qu’ils les saccagent, et les gouvernants Africains les aident considérablement au prix de leur maintien au pouvoir. Il faut une prise de conscience plus large pour enrayer cette machine infernale. Il faut de nouvelles révolutions. Il est temps…

N’ayez pas peur et avancez au large!

L’auteur ne négocie pas avec nos mensonges, il les dénonce. Nous ne voulions pas lui donner une place dans nos débats, il ne la veut pas non plus, parce que son leitmotiv est de causer avec des hommes vrais. Hélas, combien d’hommes vrais comptons-nous dans notre civilisation en dévastations?

Comme le souligne la conclusion d’un grand penseur allemand : nous sommes entraînés par la force de démonstration d'Alpha Grace, un socio criminologue, prédicateur et scientifique de génie qui fait de la philosophie géopolitique son combat salvateur !

Si vous achetez ce livre, lisez-le vraiment avec un cœur ouvert ,il vous sera bénéfique, pour votre bien-être. Vous ne serez en aucun cas pas déçu. Eh oui, vous ne serez plus jamais le même. Le monde a besoin de nouvelles voix, en voici une et je vous propose de la découvrir.